dimanche 26 juin 2011
Italie: Barcon - Montebelluna - Nogare - Quero - Anzù - Villapaiera - Busche - Santa Giustina - camping sauvage prés de la rivière Piave
64 km
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la monture est prête pour de nouvelles aventures
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la course cycliste du dimanche
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grosse circulation
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le club des Harley en goguette
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le club des Harley en goguette
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le club des Harley en goguette
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cimetière militaire de la "Grande Guerre"
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cimetière militaire de la "Grande Guerre"
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cimetière militaire de la "Grande Guerre"
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mémorial
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vivement les routes secondaires
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vivement les routes secondaires
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pause de midi
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pause de midi
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j'ai tout bouffé !
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en route ves les Dolomites
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Départ 7h10
IL fait déjà chaud, le temps est magnifique.

Les cloches du village sonnent pour la messe. J'y assiste et laisse mon vélo devant le portail vitrée afin d'avoir un oeil dessus.  Je ne parle pas l'italien. A l'issue de la messe le curé prononce plusieurs fois "bicicletta" et l'assemblée se retourne vers le fond de l'église où je suis. A la sortie un groupe se forme autour de moi; le curé nous rejoind et m'embrasse comme du bon pain.  Emouvant ces Italiens !

Aujourd'hui c'est la journée des compétitions. Je suis obligé de m'arrêter sur le bord de la route pour laisser passer les pros du vélo...on ne se mélange pas. J'ai tout de même eu droit moi aussi à une ovation par un petit groupe d'Italiens venu voir passer les coureurs.

Je m'alourdis d'un gros melon vendu à prix d'or par un bel italien sur le bord de la route.

Cet après-midi jen'ai pas envie d'attaquer tout de suite les Dolomites. Vers 15h je commence à chercher un endroit pour la nuit. Après Santa Guistina je descends sur une toute petite route et me glisse dans un chemin broussailleux qui me mène tant bien que mal vers la rivière Piave.

Dans ma recherche de bivouac je privilégie l'eau, que ce soit un lac où une rivière. Il est toujours agréable de pouvoir se décrasser et laver quelques affaires. Je précise que j'emploie un savon bio.
Je suis bien à l'abris des regards, tellement bien que quatre cavalilers surgissent de nulle part et me passe au ras des popottes.