Après les préparatifs je suis obligé de sonner
la réceptionniste qui n’est pas à son bureau
malgré l’heure relativement avancée. Elle
débarque en peignoir, l’œil fatigué et la
chevelure en pétard…sa nuit fût vraisemblablement
courte et agitée.
Le temps est magnifique aujourd’hui.
Grâce à mon GPS
je sorts de la ville sans difficultés.
Dans l’ensemble et pour le moment les bulgares que je suis
amené à rencontrer ne sont pas très aimables ni
communicatifs.
Sur la route je rattrape une dame d’un certain
âge…le mien (59 ans), bronzée, allure sportive et
pédalant tranquillement sur un beau vélo de course.
J’engage la conversation. Elle me dit être ravi de pouvoir
entretenir son anglais.
La route bulgare est belle, verdoyante et changeante.
Il fait chaud. Je
décide de m’arrêter.
Je dresse ma tente sur une
hauteur à l’abri des regards.